Les appareils optiques produisent des imperfections qui nous paraissent tellement évidentes que leur absence nous semble ne pas correspondre à la réalité Peu importe que l'appareil optique soit un appareil photographique, une caméra vidéo ou l'œil humain. Ces erreurs se produisent dans le plan optique indépendamment du fait qu'il existe un film de celluloïd, des photodiodes ou la rétine.

Les aberrations sont principalement causées par deux éléments dans les instruments optiques : la lentille et le diaphragme (ou l'iris dans l'œil humain).

Défauts des lentilles

Les lentilles ne sont jamais parfaites. Le support de l'image se situe jamais exactement à la distance focale de la lentille. En outre, les différentes longueurs d'ondes des couleurs sont réparties à des degrés différents, de sorte que des écarts se produisent ici aussi. Bien que des efforts soient faits pour minimiser ces erreurs dans les instruments optiques de grande qualité, il n'est pas possible de les éviter complètement.

Le résultat de ces erreurs est qu'un point dans le plan de l'image ne correspond pas exactement à un point dans la réalité. L'environnement immédiat du lieu à photographier a une incidence sur l'image. Cet effet est d'autant plus important que la différence de luminosité entre le point à représenter et son environnement est élevée.

Ainsi, si un objet brille, il est beaucoup plus lumineux que son environnement. Les défauts de la lentille éclaircissent alors davantage l'environnement du point représenté.

On peut voir sur les figures ci-dessus quelques points critiques. Dans le programme Home-Nostruktor, de telles erreurs peuvent être simulées par l'effet Bloom.

Erreur de diaphragme

Des éléments de l'objectif sont représentés à travers l'ouverture. Dans l'œil humain, l'iris prend le relais de cette fonction.

D'autres erreurs dans les images se produisent au bord du diaphragme. Ils créent souvent un motif dont les répétitions correspondent au nombre de lamelles du diaphragme. L'aberration principale sont les rayons qui semblent émaner d'un corps lumineux. Cette 'erreur' est si évidente à nos yeux que nous percevons l'image des étoiles à 4, 6 ou 8 rayons comme 'réelle', même si c'est le résultat d'une abberation liée au diaphragme.

Un nombre plus élevé de rayons peut également se produire, voir par exemple, l'image ci-dessous :

Pour simuler ces aberrations, l'outil dans Home-Nostruktor s'appelle l'effet du flare.

Dans l'image supérieure, vous pouvez voir le flou avec un contraste élevé, c'est-à-dire le problème des lentilles. Dans l'image inférieure, vous pouvez voir les rayons, c'est-à-dire l'aberration du diaphragme liée à l'ouverture.

• Effet Bloom : Dans Home-Nostruktor, l'effet Bloom est un réglage des sommets dans les fichiers *.kon, ou dans les réglages d'importation des fichiers x ou n3d. Dans les deux cas, l'effet Bloom est entièrement lié à l'éclairage. Sans éclairage, pas d'effet Bloom. Alors que dans les fichiers *.kon, chaque vertex peut avoir un réglage individuel pour cet effet, lors de l'importation à partir d'un programme de conception 3D, il n'y a qu'un seul réglage pour la totalité de l'objet. Cependant, cela est suffisant dans presque tous les cas.
  Dans les fenêtres de dialogue correspondantes, il y a une valeur pour l'effet Bloom qui est utilisée pour régler l'intensité de l'effet (0 = pas d'effet, 255 = effet maximum).
  Le choix de la valeur à prendre en considération dépend de nombreux facteurs et doit être examiné au cas par cas.
• Le flare : Le flare est créé par un fichier *.kon spécifique. Ce fichier fait partie d'un objet dans un modèle. Le flare peut donc également être affichée sur un axe. Ce fichier *.kon nécessite une texture spéciale et d'autres paramètres particuliers, qui sont décrits dans l'article consacré à l'effet du flare.

• Concept du Backface-Culling (Élimination des faces cachées)
• Le concept de la réflexion
• Propriétés des vertex
• Ajouter un objet
• L'effet Flare